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Construction d'un bâtiment scolaire : réussir un projet durable

Normes, budget, sécurité, délais, durabilité : maîtrisez tous les enjeux d'une construction de bâtiment scolaire.

09/07/2024

Création d’espaces partagés, de zones végétalisées et nouveaux besoins éducatifs : les attentes éducatives, périscolaires et environnementales liées à la construction de nouveaux bâtiments scolaires ont profondément évolué ces dernières décennies.

À cela s’ajoute une exigence forte en matière de durabilité, de performance énergétique, d’accessibilité et de sécurité, le tout dans un contexte budgétaire et réglementaire toujours plus contraint.

Alors, quels sont les grands principes à respecter pour construire un établissement scolaire durable et performant ? Comment répondre à la fois aux besoins des équipes pédagogiques, des élèves et des collectivités ? Comment maîtriser dans le même temps les coûts, les délais serrés et l'impact environnemental ?

Forts de nos dizaines de réalisations, on vous explique tout. 

Quelles sont les exigences spécifiques à la construction de bâtiment scolaire ?

Enjeux pédagogiques et fonctionnels

Concevoir un établissement scolaire, c’est d’abord répondre à des exigences pédagogiques spécifiques selon le niveau scolaire. Les besoins d’une école maternelle diffèrent de ceux d’un collège ou d’un lycée. Les plus jeunes ont besoin d’espaces bas, sécurisés et ludiques. Les adolescents évoluent quant à eux dans des environnements plus complexes, avec des zones spécialisées comme des laboratoires, des salles de technologie ou des équipements sportifs.

Les établissements doivent aussi s’adapter aux besoins futurs : modularité des salles, mobilier réorganisable, cloisons amovibles ou rétractables, etc.. Une flexibilité nécessaire pour répondre aux évolutions des méthodes d’apprentissage ou à la variation des effectifs d’une année scolaire à l’autre. 

Autres points de réflexion : les flux entre salles de classe et locaux périphériques (CDI, restauration, espace de motricité) doivent être fluides et bien répartis. Les espaces extérieurs (cours, jardins pédagogiques) demandent quant à eux un soin tout particulier puisqu’ils participent activement au bien-être des élèves.

Sécurité, confort et santé

Un bâtiment scolaire bien conçu est un lieu sain, sûr et agréable à vivre pour tous ses occupants. Des conditions qui passent par la qualité du confort intérieur : 

  • Apport de lumière naturelle : orientation des salles, ouvertures sur l’extérieur, occultations solaires adaptées.
  • Températures agréables toute l’année : isolation thermique renforcée, confort d’été, ventilation maîtrisée.
  • Ambiance acoustique soignée dans les espaces partagés : plafonds et revêtements absorbants, panneaux acoustiques en complément et cloisonnement performant.
  • Contrôle de la qualité de l’air intérieur : systèmes de ventilation mécanique double flux, capteurs de CO2 dans les salles de classe et filtres accessibles pour un entretien régulier. L’emploi de matériaux sans composés organiques volatils (COV) est également incontournable.

Vers des établissements à impact positif

Les bâtiments scolaires neufs ne sont plus uniquement fonctionnels, ils doivent aussi être un exemple d’impact positif. L’objectif est donc d’intégrer (et de multiplier) des solutions qui minimisent leur empreinte environnementale et maximisent leurs performances.

Et pour ce faire, tout commence souvent par une conception bioclimatique.

En exploitant les atouts naturels du site (ensoleillement, orientation, profil du terrain, ombres portées) et en travaillant sur une enveloppe performante, les établissements scolaires deviennent plus résilients, et naturellement moins gourmands en énergie.

Pour compléter cette conception intelligente, des systèmes de chauffage performants et respectueux de l’environnement comme les pompes à chaleur, les chaufferies biomasse, les panneaux photovoltaïques ou les équipements de contrôle connectés renforcent l’efficacité énergétique globale du bâtiment.

Enfin, pour un impact carbone davantage réduit, les matériaux bas carbone et locaux sont à privilégier : biosourcés (bois, chanvre), solutions bas carbone, recyclées ou éléments réemployés.

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Prendre en compte le cycle de vie du bâtiment

Une réflexion d’ensemble à l’échelle du cycle de vie du bâtiment, permet de bâtir des écoles durables, qui évoluent avec leur territoire et les besoins des générations futures.

Contraintes budgétaires et délais millimétrés

Financés majoritairement par des fonds publics, les projets scolaires doivent (encore plus que d’autres types de constructions) respecter des budgets stricts.

Il faut donc réfléchir au maximum en coût global : optimiser les dépenses d’exploitation, choisir des matériaux robustes et faciles à entretenir.

Les délais de réalisation sont eux aussi très contraints, notamment par la date de rentrée scolaire : une échéance non modifiable ! Tout retard dans la livraison du chantier a des répercussions directes à la fois sur la vie scolaire, les citoyens et le fonctionnement des collectivités.

Pour respecter au maximum les délais et accélérer la mise en œuvre, des solutions existent : préfabrication en atelier, façades bois livrées prêtes à poser, modules techniques complets. 

Ce type de chantier implique une organisation millimétrée, mais aussi une bonne anticipation des aléas (intempéries, tensions sur les matériaux) sans trop d’optimisme sur les délais de réalisation ou d’approvisionnement.

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Intégrer des usages mixtes dans les projets scolaires

Pour rentabiliser les dépenses publiques et favoriser le lien social local, les collectivités peuvent penser dès la conception à la mutualisation des espaces.

Par exemple, un gymnase scolaire peut être utilisé par les associations sportives les soirs et les week-ends, une salle polyvalente peut être ouverte aux habitants ou aux associations locales en dehors des temps scolaires.

Exemple concret : le nouveau collège Jean d’Ormesson de Genas intègre une salle polyvalente accessible aux riverains.

Les normes propres aux établissements scolaires

La construction de bâtiment scolaire est soumise à des réglementations strictes qui encadrent la sécurité, l’accessibilité, le confort des occupants et la performance énergétique.

En tant qu’ERP de type R (établissements recevant du public), les écoles, collèges, lycées et centres de formation doivent répondre simultanément à tout un ensemble de normes et réglementations :

  • Le Code de l’Éducation impose aux établissements d’offrir un cadre d’accueil sécurisé et conforme aux attentes de l’éducation nationale.
  • Les règles propres aux ERP conditionnent les largeurs de circulation, les dégagements, les équipements de sécurité incendie (détection, alarme, désenfumage), les zones de confinement et les issues de secours.
  • La norme NF S 31-080 définit les exigences acoustiques : absorption, isolement des parois, temps de réverbération. 
  • La RE 2020 prévoit des objectifs de performance énergétique, de réduction des émissions carbone et de confort d’été. Elle s’applique aux constructions neuves et guide les choix de matériaux et de systèmes techniques.
  • La réglementation PMR (accessibilité) impose une conception inclusive : 100 % des locaux doivent être accessibles. Il faut donc prévoir des rampes, des ascenseurs pour les étages, des sanitaires adaptés, adapter les largeurs de portes et penser à une signalétique claire pour les personnes en situation de handicap.

Étapes clés de la construction d’un bâtiment scolaire

L’élaboration du cahier des charges

Pour lancer la conception d’un bâtiment scolaire, tout commence par un cahier des charges exhaustif. Ce document synthétise l’ensemble des besoins pédagogiques, fonctionnels, techniques et budgétaires du projet. 

Pour un cahier des charges vraiment pertinent, l’idéal est de l’établir via un processus de concertation. En recueillant les idées et besoins de tous les futurs usagers (enseignants, décisionnaires, personnels techniques, parents, élèves), cette démarche limite les oublis et les ajustements tardifs. Voici les objectifs d’un bon cahier des charges :

  • Lister les exigences fonctionnelles : nombre de salles de classe, locaux spécifiques (laboratoires, espaces périscolaires, salle de restauration), espaces extérieurs, et superficies minimales par niveau d’enseignement.  
  • Détailler les besoins organisationnels : gestion des flux, mutualisation possible des locaux, horaires de fonctionnement, etc.
  • Préciser les exigences techniques particulières : exigences acoustiques, mode de chauffage, gestion des eaux de pluie, automatisations diverses, réseaux informatiques.
  • Énoncer les objectifs environnementaux : niveau de performance énergétique visé, utilisation de matériaux biosourcés, certifications souhaitées.
  • Fixer les enveloppes budgétaires à respecter, les contraintes de calendrier, et les priorités à suivre en cas d’arbitrage.
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L'impact de la construction d’un établissement scolaire sur la circulation locale

La création d’un établissement scolaire modifie les flux de déplacement dans le quartier. Il faut donc anticiper quelques aspects à l’échelle de la commune :

  • L’organisation des voiries : sens de circulation, zones de dépose minute ou stationnement temporaire pour les parents d’élèves.
  • La sécurisation des abords pour les piétons et les cyclistes (trottoirs, passages protégés, éclairage).
  • Les besoins en stationnement pour le personnel et les familles.
  • Le développement des modes de transport doux : parkings vélos, cheminements piétons sécurisés, accès aux transports en commun.

Phase de conception : la création d’un avant-projet

Lors de cette étape, le cahier des charges est traduit en propositions architecturales. C’est ici que les lignes structurantes du bâtiment scolaire sont proposées. Voici les étapes courantes de conception : 

  • Une étude de site précise identifie l’orientation, la topographie du terrain, la qualité du sol, les accès, l’emplacement des réseaux existants et l’environnement immédiat.
  • L’architecte propose une esquisse puis un APS (avant-projet sommaire), qui organise les espaces et volumes, optimise les surfaces, hiérarchise les flux et intègre une intention architecturale.
  • Les choix de matériaux, de systèmes constructifs, d’isolation thermique, sont arrêtés progressivement avec les BET en fonction des résultats des différentes études techniques.
  • Le projet suit les différentes phases classiques de conception, APD (avant-projet définitif), PRO, DCE (dossier de consultation des entreprises), en précisant toujours plus les choix techniques nécessaires à la réalisation sur site.
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L’importance d’anticiper le futur

Un établissement scolaire doit pouvoir évoluer avec la démographie locale et les méthodes pédagogiques.

Dès la conception, il faut donc prévoir des espaces modulables et des réserves de capacité. Cela implique d’anticiper :

  • les surcharges admissibles sur les planchers pour éviter des renforcements ultérieurs (ex. un CDI ne peut pas être déplacé sans précaution) ;
  • un nombre suffisant d’issues de secours adapté aux éventuelles hausses d’effectifs ;
  • la possibilité d’ajouter une salle de classe sans modifier l’ensemble du bâtiment.

Tous ces choix relèvent pleinement d’une logique de coût global : prévoir dès aujourd’hui les scénarios d’évolution, c’est éviter de lourdes dépenses à l’avenir.

Autorisations et dossier administratif

Lorsque le projet est suffisamment avancé, vient le moment de déposer un permis de construire auprès des services instructeurs.

Le délai d’instruction du permis est au minimum de trois mois. Mais il peut être prolongé si des pièces complémentaires sont demandées ou si un avis défavorable est émis par l’une des commissions. 

Un point d’équilibre est à trouver pour déposer le permis de construire au bon moment. En effet, il faut agir rapidement pour absorber les délais incompressibles d’instruction et de recours des tiers, mais sans tomber dans la précipitation. Un dossier déposé trop tôt, avec des études incomplètes, expose votre dossier à des demandes de pièces complémentaires, voire à un refus ou à l’obligation de déposer un permis modificatif en cours de route.

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Des contrôles renforcés pour les bâtiments scolaires

Un établissement scolaire n’est pas tout à fait un bâtiment comme les autres. En tant qu’ERP de type R, il accueille des enfants et adolescents, parfois en grand nombre. Les commissions qui évaluent les dossiers de permis appliquent donc un niveau d’exigence renforcé.

Pour sécuriser l’ensemble du processus, il est vivement recommandé de travailler en lien étroit avec un bureau de contrôle pour anticiper les demandes, soigner le dossier de permis et la rédaction des différentes notices obligatoires.

Plans d’exécution et préparation du chantier

La période d’instruction du permis de construire est souvent mise à profit pour affiner les plans, lancer les études d’exécution, les plans de préfabrication, et soulever tous les points techniques du chantier. 

Si cela n’a pas encore été fait, c’est également le moment de lancer les consultations pour une attribution de tous les lots le plus tôt possible. L’objectif est de garantir la disponibilité des artisans et verrouiller les dates clés du planning.

Vient ensuite l’organisation précise du chantier : 

  • zone d’installation de la base vie ;
  • zones de livraison et de stockage des matériaux ;
  • demandes d’autorisations spécifiques (autorisation d’occupation de la voirie pour une benne par exemple) ;
  • planning de travaux détaillé (et réaliste) adapté au calendrier scolaire ;
  • vérification des délais d’approvisionnement : identification des matériaux à fort délai (bois, isolants biosourcés, équipements CVC spécifiques) pour adapter éventuellement les choix en cas d’incompatibilité avec le planning.

Travaux de réalisation

Lors du chantier, un suivi rigoureux est la condition indispensable au respect du planning, du budget et de la qualité d’exécution. C’est pourquoi la présence permanente du contractant général et du conducteur d’opérations est obligatoire tout au long des travaux.

Des réunions de chantier sont organisées à un rythme régulier (hebdomadaires, voire bihebdomadaires selon les phases) afin de résoudre immédiatement les éventuels blocages. 

Ce niveau de réactivité est indispensable pour respecter le calendrier prévisionnel. En parallèle, les interventions en coactivité (soigneusement coordonnées pour éviter les interférences), ainsi que le travail en horaires étendus quand le contexte le permet, contribuent aussi à gagner du temps.

Enfin, à l’approche de la livraison, l’organisation d’opérations préalables à la réception (OPR) met en lumière et corrige par anticipation les éventuelles non-conformités. 

Il faut également prendre le temps de former les utilisateurs (équipes pédagogiques, personnel technique) à l’exploitation des équipements : ventilation, chauffage, domotique, alarmes. L’objectif est de livrer un établissement pleinement opérationnel dès le jour de la rentrée scolaire.

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Construire des établissements scolaires bas carbone et innovants : des solutions concrètes existent !

Le lycée Colonel Arnaud Beltrame, construit à Meyzieu (69), illustre parfaitement l’engagement de Léon Grosse en faveur d’une construction scolaire bas carbone ambitieuse et réaliste. 

Ce projet, livré en moins de deux ans, cumule de nombreuses solutions environnementales, appliquées de la conception à l’exploitation, pour limiter au maximum son impact :

  • La structure du bâtiment repose sur une ossature bois et des planchers mixtes bois-béton. Un choix technique qui a permis un montage rapide, un chantier plus propre, et un excellent bilan carbone.
  • Le projet intègre des façades à ossature bois et de nombreux matériaux biosourcés tels que le chanvre, la ouate et le bois. Au total, plus de 360 tonnes de matériaux biosourcés ont été intégrées, soit 24 kg/m². Une quantité qui permet au projet d’atteindre le niveau 2 du label Bâtiment biosourcé.
  • Pour la production de chaleur, le lycée s’appuie sur une chaufferie bois à granulés, couvrant 80 % des besoins en chauffage et 50 % de la production d’eau chaude sanitaire. 
  • Le site est partiellement alimenté en autoconsommation grâce à l’installation de 235 panneaux photovoltaïques, sur une surface totale de 440 m².
  • La gestion de l’eau a également été optimisée grâce à une cuve de récupération des eaux de pluie, utilisée pour alimenter les chasses d’eau des sanitaires. 
  • Sur le plan architectural, le bâtiment est le fruit d’une conception bioclimatique. Les bâtiments sont orientés de manière à capter un maximum de lumière naturelle en hiver. Pour un meilleur confort thermique en été, les vitrages bénéficient d’un traitement solaire spécifique et une cour arborée offre des zones d’ombre et de fraîcheur.
  • L’ancrage territorial a été pleinement intégré au projet. Le bois utilisé est issu de la filière Bois des Alpes, et les entreprises mobilisées, y compris en phase de conception, proviennent du territoire local.
  • Le projet a été conçu selon une démarche Full BIM, avec une modélisation complète du bâtiment jusqu’en phase d’exécution. 
  • Enfin, ce lycée est un projet pilote pour le label OSMOZ, une démarche d’expérimentation qui vise à améliorer la qualité de vie et le bien-être des usagers dans les bâtiments scolaires. 

Ce lycée est un projet emblématique qui traduit la volonté de Léon Grosse de réduire l’impact carbone de toutes ses opérations. Cet engagement est renouvelé à chaque nouvelle opération, en neuf comme en rénovation, avec des solutions toujours innovantes et ajustées aux contextes locaux.

Vous avez un projet scolaire ? Contactez-nous pour construire ensemble un établissement innovant tourné vers l’avenir !

Les questions les plus fréquentes

Quels sont les principaux enjeux d’un projet de construction de bâtiment scolaire ?

Les projets scolaires doivent répondre à des besoins pédagogiques, fonctionnels et environnementaux spécifiques. Ils exigent une conception adaptée à l’âge des élèves, une grande modularité, un haut niveau de confort intérieur et une performance énergétique exemplaire, le tout dans un cadre budgétaire et réglementaire strict.

Comment la construction modulaire peut-elle bénéficier aux bâtiments scolaires ?

La construction modulaire offre une solution flexible et rapide pour répondre aux besoins d'espace des établissements scolaires. Elle permet de construire des bâtiments adaptés aux exigences pédagogiques tout en respectant les normes de sécurité et de performance énergétique. De plus, cette méthode peut réduire les coûts et les délais de construction.

Comment intégrer la durabilité dans un projet de bâtiment scolaire ?

La durabilité passe par une conception bioclimatique, l’utilisation de matériaux biosourcés ou bas carbone (bois, chanvre, ouate), l’installation d’équipements performants (pompes à chaleur, panneaux photovoltaïques) et une gestion optimisée du cycle de vie du bâtiment. L’objectif est de minimiser l’empreinte carbone tout en maximisant le confort et la résilience du bâtiment.

Quelles sont les réglementations à respecter lors de la construction d'écoles ?

Lors de la construction d'écoles, il est essentiel de respecter diverses réglementations concernant la sécurité des bâtiments, l'accessibilité pour les personnes handicapées, ainsi que les normes environnementales. Cela inclut des exigences sur l'isolation thermique et acoustique, ainsi que sur la qualité des matériaux utilisés pour garantir un cadre éducatif sain.

Comment anticiper les besoins futurs dans la construction d’un établissement scolaire ?

Dès la conception, il est essentiel d’intégrer des espaces modulables, des réserves foncières, des cloisons amovibles et des systèmes évolutifs. Cela permet d’adapter l’établissement à l’évolution des effectifs, des pratiques pédagogiques ou des besoins du territoire, sans engendrer de lourds travaux à moyen terme.

Pourquoi faire appel à un expert comme Léon Grosse pour la construction de votre bâtiment scolaire ?

Léon Grosse dispose d’une expertise reconnue dans la conception et la réalisation d’établissements scolaires durables, performants et innovants. Grâce à une organisation rigoureuse, une connaissance approfondie des normes et des contraintes spécifiques, et un engagement en faveur du bas carbone, Léon Grosse accompagne efficacement les maîtres d’ouvrage publics et privés de la phase de conception jusqu’à la livraison.